La maison des (onze) secrets !

Un petit billet posté tout droit de Martinique, où je suis allée peaufiner mon bronzage mariage, le Groom dans mes bagages. Séances d’UV sur le sable, côté pile puis côté face, en descendant des accracs à l’huile en guise de Monoï et des Ti’punch pour supporter ce dur programme, je peux vous dire qu’ici ça ne chôme pas. J’ai même été forcée d’aller pique-niquer sur un îlot désert, entre cocotiers et ambiance Robinson Crusoé pour fuir l’ombre des touristes !

Ludivine, de Ludivine les Salons ayant cru bon de venir alourdir ce planning déjà surchargé en me taggant ici et me « réclamant » 11 révélations sur moi, moi et moi (!), je dégaine mon clavier sur la terrasse ensoleillée, et vous ouvre la maison des secrets entre deux tartines à la confiture de goyave du petit-déjeuner.

 

1. Dans une autre vie, je baillais quand on me parlait bagouse de fiançailles et faire-parts. Aujourd’hui (ça reste entre nous !), je me réveille la nuit pour surfer sur des blogs mariage, ai transformé Jean-Louis en Groomzilla et mon appart en entreprise artisanale de centres de table.

2. J’ai habité 2 ans avec… 5 mecs, et j’étais de loin (de très très loin) la plus bordélique des 6 !

3. Je suis une vraie timide, mais je me soigne à coup de cours de théâtre d’improvisation tous les jeudis soirs.

4. Je n’ai pas de bâton de rouge à lèvres, ma collection de produits de beauté tient dans une trousse de toilette H&M, et je suis pucelle en french manucure… mais je ne peux pas sortir de chez moi sans maquillage, même pour aller acheter du pain le dimanche matin.

5. Ne le dîtes pas à Jean-Louis, mais j’ai passé la plus belle année de ma vie en Espagne… il y a 10 ans exactement. J’étais jeune, étudiante et totalement insouciante, j’habitais avec toute l’Europe réunie et je peux vous dire qu’à côté « l’Auberge espagnole », c’était de la gnognote ! On faisait l’université buissonnière, bouteilles de tequila en bandouilière, pour partir en vadrouille la semaine, et revenir au port le jeudi soir, coup d’envoi des fêtes du week-end.

6. Marie-Antoinette, Madame de Maintenon, Zelda Fitzerald ou la maîtresse de Jules Vallès, j’adore les biographies. Surtout de femmes qui ont flirté (couché ?) avec l’Histoire, allez savoir pourquoi !

7. Je suis nulle en… autobronzant mais je m’accroche ! Et tous les premiers jours d’été, je passe au orange, avec mains blanches et tâches (dignes d’une maladie de peau incurable) sur les jambes.

8. J’ai écrit deux livres, sur les enterrements de vie de célibataire et l’éducation des enfants, sans avoir jamais mis les pieds à un EVJF… ni à la maternité. Un vrai travail d’investigation donc !

9. Je ne pourrais me passer… de bonbons Haribo. Crocodiles, fraises Tagada, ou réglisses, je suis totalement accroc !

10. Je suis inapte… à remplir des papiers administratifs. J’appelle mon père à chaque déclaration d’impôt, et ma mère s’occupait de mes feuilles de sécu jusqu’à l’année dernière (Maman si tu me lis, tu ne veux pas recommencer ?).

11. J’ai cherché pendant un appartement à acheter, passant tous mes week-ends dans les agences immobilières, et toutes mes nuits sur des canap’ de copines. J’ai trimballé mon balluchon de SDF dans tout Paris, et ai habité deux mois chez ma grand-mère, le temps de reprendre des forces (et de la soupe aux poireaux !) pour repartir à l’attaque ! Le jour où j’ai trouvé l’appart de mes rêves, j’ai emménagé chez Jean-Louis et je n’y ai jamais habité (qui a dit « la Chèvre » ?).

Sur ce, la mer m’appelle (ma coach beauté mariage m’a prescrit des balades en bateau pour profiter de la réverbération de l’eau), et vous comprendrez que je suis dans l’impossibilité totale de répondre aux 7 questions de Ludivine !

Mais je reviens très vite pour le questionnaire d’Alice… et le taggage intempestif !

{Les jeudis de la demande} : la demande en mariage de Géraldine

« Veux-tu m’épouser ? » placardé sur un panneau publicitaire XXL devant votre fenêtre.
Oscar de la meilleure fiancée remis en grande pompe par l’amoureux en costard.
Inscription surprise à un cours de 1ère danse particulier, option choré de Dirty Dancing.
Et vous, comment s’est passée votre demande en mariage ?

Tous les jeudis, une mariée, une fiancée, une amoureuse… ou un amoureux, s’il y en a, qu’ils se déclarent !) nous raconte ici sa jolie, étonnante ou truculente demande en mariage. Aujourd’hui, c’est Géraldine qui prend son clavier, pour raconter le Jour où… après avoir fiancé toutes ses copines et imaginé 1000 scénarios possible, elle a enfin ouvert la petite boîte qui contenait sa jolie (la preuve plus bas !) bague de fiançailles, et ses rêves de mariage.

C’était le 10 avril 2010, et depuis… celle qui aimait déjà les robes blanches, la déco et les émotions du Jour J a plongé (avec ses tissus et son papier de soie) dans le ‘tourbillon mariagesque’ (© Géraldine). En bonne bridezilla qui se respecte, elle a découpé 600 oiseaux en papier, concocté à la main ses confettis et moulins à vent liberty, et mitonné un sublime mariage en rose et bleu marine que vous découvrirez ici et . Ca ne s’arrête pas là.

Devenue accroc aux blogs mariage… et aux mariages tout court, elle a fini par créer Les Moineaux de la mariée, qui fourmille de conseils et bonnes idées pour ses moinettes, et par enfiler la casquette de wedding-consultante en chef. Des questions sur l’organisation de votre D-Day, la déco ou les tenues des mariés ? Envoyez vite un mail à Géraldine : les moineauxdelamariee@hotmail.fr. Et maintenant, place à sa demande en mariage !

{Photos de mariage} : pour ou contre les photos de groupe ?

Ringardes. Neuneus. Bonnes à ranger dans le tiroir à « vieilleries », entre les robes de mariées meringuées et les sachets de dragées. Les photos de groupe n’ont pas la côte dans les blogs mariage, qui préfèrent le naturel, la spontanéité et les émotions vraies du photo-reportage ou les poses poilantes du Photobooth à moustaches !

Bref, question hautement existentielle, les photos de groupe, on garde, on jette ou on fait le tri… et on recycle ?

 

CONTRE

√ On ne va pas se mentir, les photos posées au sourires figés ne candidatent pas pour l’oscar du souvenir mariage le plus funcky. Et vous perdrez votre titre de grand-mère qui rocke en montrant à vos petits enfants vote collection de rangées de convives alignées au centimètre près (version militaire), par ordre de taille (version photo de classe) ou alphabétique (version psychopathe).

√ Bien sûr, vous serez la plus belle pour aller vous marier, Jean-Louis au top de son sex-appeal, et vos invités sapés comme un 31 décembre à New-York. Mais votre dress-code shabby chic ne vous mettra pas à l’abri d’un vieil oncle titubant sur l’épaule de sa voisine, d’un copain bout en train grimaçant ou d’une petite fille d’honneur pleurant sa maman (reléguée au dernier rang). Résultats : 45 prises, 0 photo réussie !

Le Jour J, toutes les mariées le disent (et vous le direz aussi) passe à une vitesse grand V. Et entre le boulet inconnu qui vous tient la jambe, et le copain assisté qui vous demande toutes les 30 secondes où sont les toilettes, le vestiaire ou… les célibataires, vous aurez 2 minutes montre en main pour trinquer avec vos invités (et pas une pour vider votre coupe !). Alors si vous pouviez vous épargniez les heures de poses photos, à attendre que le nuage passe, que Tonton Gégé daigne quitter le bar à whisky ou que la petite Louise sourie à l’objectif…

Le D-Day, tout le monde est beau, gentil, heureux et s’aime dans la paix et l’allégresse. SAUF… si les photos de groupe traînent en longueur (ce qu’elles font toujours !). Et vous serez à deux doigts d’étrangler à coup de voile, votre mère, qui collectionne les photos de famille (réduite, élargie, avec puis sans les pièces rapportées, et je ne vous parle même pas des familles recomposées !), votre belle-mère, qui exige, parité familiale oblige, le même nombre de prises, et le Groom qui sourit béatement à l’objectif au lieu d’arrêter le massacre !

POUR

√ Vous éviterez de vous faire déshéritez par Grand-Maman, qui préfèrera sans doute garder de votre mariage, un album de famille que des images de bar à bonbons DIY !

√  Les photos de groupe, c’est LA garantie d’immortaliser TOUT le monde le Jour J (vous trouverez toujours des convives pour sécher le photobooth !).

√  Les photos de déco, d’escarpins pailletés ou de convives prises sur le vif, vignettées, pixelisées, passées sous filtre retro, c’est bien joli (c’est même très joli), mais dans 5, 10 ou 50 ans, vous serez bien contente de retomber sur les rangées de copines, cousins et bambins, qui vous entouraient quand vous étiez jeune, belle, et mariée !

CONCLUSION

Il faut de tout pour faire un monde… et des photos de mariage. Pour contenter sa mère, sa grand-mère, et son goût pour les photos artistiques prises sur le vif, on concote un petit mix… Quelques trucs et astuces pour faire passer la pilule des photos de groupe :
On ouvre le cocktail par les photos de groupe, plus vite vous serez débarrassée, mieux vous profiterez de votre D-Day !
On limite au minimum vital !
On prépare une liste, avec poses… et poseurs.
On nomme un chef de projet de photos qui ira les chercher par la main amis et famille.
On propose un cadre et des poses plus sympas et originales que l’alignement de convives plantés comme des piquets bras ballants et sourires coincés !
On prévoit des accessoires : chapeaux, rubans, lunettes, etc. !

 

Crédits photos : 2. Guillaume Carrière, 3. Bphoto.fr, 7. photographe-mariage-toulouse.fr.

Pour ou contre le lancer du bouquet de la mariée ? C’est par ici !

Bon plan DIY : le Little atelier demain soir…

Si comme moi, vous bavez avec un grand B devant les mariages home-made
Si comme moi, vous n’êtes pas né avec un rouleau de masking tape dans la bouche…
Si comme moi, vous avez malencontreusement cassé votre tirelire mariage, rampez sur le trottoir quand vous passez devant votre banque, et cherchez des bons plans déco sans finir en photo dans les magazines, pages braquages de bijouterie…
Si en plus (et pas comme moi !), vous avez raté la Etsy Craft Night le 21 février dernier…

Séchez votre cours de bridge ou d’aquagym, et filez à l’atelier DIY du site A little market demain soir !

Tous les mois, le site A little market organise un rendez-vous DIY entre les créatrices du site, une pro de la broderie, une fan de crochet ou une experte en bijou home-made, et les amatrices de DIY, qui souhaitent, comme vous et moi, un gros coup de pouce pour créer de leurs petites mains ! Entre deux gourmandises et dans une ambiance 100% girly, vous apprendrez à fabriquer une guirlande, des bijoux gourmands, un headband, … et repartirez avec vos créations et tutos pour recommencer à la maison (en collant Jean-Louis au boulot !).

 

Little atelier Enfin le Printemps’ mardi 6 mars

A Paris
Rendez-vous de 19h à 21h au Rose Selavy 5 rue Fromentin 75009 Paris
Au programme :
– les papillons de printemps: création d’une guirlande avec la créatrice ‘Guiligribouili’
– les gourmandises de printemps: création de bijoux gourmands en pâte fimo avec la créatrice ‘Le Boudoir de Libellule’
– la déco de ce printemps: customisation de photophores avec ‘Phanie Peintre’
OU a atelier de 2 heures : réalisation d’un headband vintage avec ‘Pica’.
Prix : gratuit
Inscription : inscription@alittleatelier.com

Dans toute la France : tous les détails ici !

 
Si vous ne pouvez pas venir, rendez-vous au prochain atelier ‘Pâques ou pas cap ?’ le 3 avril.

{Robes de mariée} : un showroom pour Meryl Suissa !

Save the date. Notez, entourez, sous-lignez ou stabylotez la date du 17 mars 2012. La créatrice de robes de mariées Meryl Suissa ouvre les portes de son showroom à Paris, dans le 8e exactement, et parole d’une future bride qui en connaît un rayon en robes blanches (102 essayages et 648 heures à surfer sur les sites mariages à mon actif), c’est encore plus fort que l’arrivée du Burger King à Saint Lazare !

Meryl Suissa, je l’avais découverte, repérée, notée dans dans un coin de ma tête, grâce à la charmante Muriel de la boutique Queen Caroline, qui sensible à mon désespoir de ne jamais tomber sur la robe rare (j’étais à deux doigts de me marier à poile et de transformer mon Jour J en rendez-vous naturiste !), m’avait envoyé un de ses modèles en photo. Une petite robe courte adorable (et sexy), légère et féminine, entre tulle, bretelles en dentelle et dos nu à défroquer Monsieur le curé. Pour la petite histoire, j’ai fini par craquer pour une robe concurrente mais celle-ci restera gravée dans les annales de mes coups de coeur mariage… Et je ne peux que me réjouir (pour vous, futures mariées pas encore habillées) de l’ouverture de ce showroom.

Et comme une bonne nouvelle n’arrive jamais en solitaire (proverbe chinois, ou malien, je ne sais  plus bien), Meryl Suissa organise des ventes exclusives du 17 au 24 mars 2012. Vous pouvez vous inscrire en envoyant  un mail ici (attention, nombre d’invitations limitées).

En attendant le 17 mars, vous pouvez découvrir les jolies robes courtes de Meryl sur son site ou dans la boutique Queen Caroline à Saint-Rémy de Provence. Et son univers mi-vintage mi-baby doll, 100% chic et sobre, tout en féminité, romantisme et légèreté ici !

{Enfants d’honneur} : une barrette dans le vent !

Triste à dire, mais vous ne pourrez pas éviter que Joséphine, si mignonne la dernière fois que vous l’avez vue téter, passe difficilement le cap des 3 ans, que Pia déboule à votre mariage accompagnée de ses souvenirs de varicelle sur la face, ou Léonie avec sa nouvelle paire de culs de bouteilles sur le nez. Triste à dire, mais vous ne pourrez pas non plus les licencier pour faute (de goût) grave, au risque de vous retrouver avec un procès familial et / ou amical collé au derrière.

La bonne nouvelle (quand même !), c’est que vous pouvez vous épargner, à vous et à vos photos de groupe, les collections de barrettes Hello Kitty et bandeaux Dora l’exploratrice, en habillant vos demoiselles d’honneur des pieds… aux cheveux.

Vu sur le site des Fées pimentées (que je vous recommande vivement !), ces adorables barrettes moulin à vent, à commander ici (7 euros côté prix). Ca change des sempiternels fichus vichy ou liberty, des classiques barrettes, serre-têtes et chapeau de paille, et vous évitera de régler réveil à 5 heures du mat’ pour composer 10 mignonnes de couronnes de fleurs fraîches, avant la folle course des rendez-vous coiffeur-maquillage-manucure-massage-destressant, briefs traiteur-DJ-photographe-cousine-qui-installe-le-candy-bar, ou des séances psy sur le pouce avec votre mère qui a entendu sur le France bleu local qu’on annonçait un nuage dans le département d’à côté ou votre bridemaid qui flippe de lire un texte en public à la cérémonie !

Version home-made : vous les fabriquez vous-même, grâce aux 50 tutos qui se baladent sur la toile (ici ou ) et une épingle à cheveux. Même-moi j’y arrive (j’ai essayé hier après-midi), et je peux vous assurer que la bonne fée DIY devait avoir une scoliose le jour de ma naissance et ne s’est pas vraiment penchée sur mon berceau…

Version bridezilla : rappelez les moulins à vent des petites filles dans les boutonnières des messieurs (mec, pères, témoins, frères), les accessoires du cortège, les bagues des Bridemaids, le bouquet de la mariée, la déco du D-day.
A suivre : toutes les (bonnes) idées mariage avec un moulin à vent

{Les Jeudis de la demande} : la demande en mariage de Magdalena

« Ca te dirait de te marier dans 1 heure et demi ? J’ai réservé Elvis ! » lancé à las Vegas, entre deux parties de Black Jack.
« Abonne-toi au blog Martine Se Marie, ça va te servir ! », laissé sur un post-it collé à votre ordi…
« Rendez-vous dans 10 minutes chez Tiffany, rayon bagouses de fiançailles, c’est moi qui régale ! », envoyé par SMS, à l’heure du déj’.
Et vous, comment s’est passé votre demande en mariage ?

Tous les jeudis, une mariée, une fiancée, une amoureuse… ou un amoureux, raconte ici sa jolie demande en mariage.

Aujourd’hui, c’est Magdelena qui prend son clavier pour nous conter le jour où… son Groom lui a offert sa bague de fiançailles, après 10 ans d’amour, deux enfants… et moultes discussions anti-mariage ! Direction Paris, au deuxième étage de la Tour Eiffel, par une romantique (et enneigée !) soirée d’hiver…

{Photographe mariage} : 5 questions àThomas Dufourneau

Précédemment chez Martine Se Marie : le vrai mariage de Steeve et Ophélie by Thomas Dufourneau.

Aujourd’hui, Thomas repasse par ici pour nous raconter comment il est entré dans le cercle des photographes de mariage, par la grande porte du photo-reportage. Les mises en scène, portraits figés ou photos posées, il les laisse à d’autres appareils, préférant capter à la volée les jolis instants fugaces, les émotions qui passent, l’atmosphère du mariage. Documentariste de Jour J, il raconte avec son regard d’artiste, toute sa passion pour la photographie et ses images poétiques, une histoire. En noir et blanc de préférence… 5 questions à Thomas Dufourneau.

 

1. Peux-tu tirer ton portrait en quelques lignes ?
Je suis photographe indépendant en Seine et Marne Lire la suite

{Real wedding} : le mariage de Steeve et Ophélie by Thomas Dufourneau

Les mises en scènes montées de toute pièce, les photos posées et les portraits figés, très peu pour lui. Marqué par la photographie humaniste et sociale, et le photo-reportage, Thomas Dufourneau aborde les mariages comme un documentaire… esthétique. Avec une nette préférence pour le noir et blanc, « qui apporte une atmosphère particulière, un côté intemporel », dit-il. Derrière son appareil, il attend, patient, le moment décisif, l’instant fugace où se mêlent émotions et poésie, et nous raconte images après images une histoire. L’histoire d’un mariage.

La preuve en images, avec les photos en noir, blanc et poésie, du mariage de Steeve et Ophélie, qui se sont dit oui le 14 juillet 2011 à  Chilhac, en Haute-Loire.



Lire la suite

{Les jeudis de La demande} : la jolie demande en mariage d’Alexandra

Billet « Veux-tu m’épouser » déposé par pigeon voyageur sur le balcon.
Invitation surprise au Salon du mariage.
Cake Toppers plantés sur votre fromage blanc 0% au dessert.
Et vous, à quoi ressemblait votre demande en mariage ?

Tous les jeudis, une mariée, une fiancée, une amoureuse… ou un amoureux (!) nous raconte ici sa jolie demande en mariage.

Aujourd’hui, c’est Alexandra, qui prend son clavier pour nous conter le Jour où… son Cédric l’a demandé en épousailles, 2 ans après leurs fiançailles, et 6 après leur jolie rencontre dans un hôpital. Depuis, elle organise à grands pas et petits détails son Jour J, cherche des berlingots à la fraise sur la toile, poste des photos de cup-cakes sur Facebook et envoie des faire-parts enrubannés de Baker twine… Pas de doute, c’est bien une future Bride 2012 !

Pour voir Alexandra en chair et en web, filez voir sa jolie séance d’engagement sur le blog de Clémentine, alias Madame C.

               

Lire la suite